Ma vie , mon histoire

Un soir dans la taverne du chabrulé ...

Il se fesait très tard, seul Sparda buvait tranquillement un verre après une longue journée du dur labeur. Il buvait une liqueur d'abraknyde sombre sans faire un seul bruit, la taverne était, cette nuit là, tout ce qu'il y a de plus calme. Le serveur timide et peureux à la fois dit : " Monsieur Sparda ?

-" Oui ? " repondit Sparda intrigué
-" Je me disais que comme nous étions seuls ..."
-" Je te coupe toute suite je ne suis pas homosexuel."
-" Non, non ce n'est pas du tout ca, je me disais que comme les autres n'arrivent pas en attendant vous pourriez me raconter votre histoire."
-" Ma foi mon brave, c'est ici l'une des meilleurs idées qui a traversée ton esprit. Alors accroche toi bien ca va être long ...

Cela fait maintenant 200 ans que je suis né, mon père était un guerrier du 3ème commandement de Rushu's tandis que ma mère , elle , était une simple paysanne. Mon père était un sram de l'ancien temps, les plus féroces et en plus de ca les plus vicieux... ma mère quant à elle venerait le dieu des fécas. Drôle de mélange n'est ce pas ? Enfin bref, dès mon plus jeune age mon père m'initia au joies et à l'art de la guerre. Arrivé à mes 15 ans mon père m'inscriva dans le 1er commandement de l'armée des jeunes de Brâkmar dirigée par un sergent du 1er commandement officiel de Rushu's. J'ai eu une enfance difficile, une fois la journée terminée au camp c'est avec mon père que je m'entrainais dans le cimetière de Brâkmar. S'installa alors une étrange routine jusqu'au jour où un jeune guerrier aux ambissions les plus nobles nommé Amayiro debarqua dans notre sombre cité. Il engagea alors la célèbre guerre entre Bonta et Brâkmar. Après des jours et des semaines de combat mon père entra en trombe dans notre maison et me dit : " Fils, prends cette paire de dagues, mon père me les a forgées il y a de ca très longtemps et surtout maintenant ... COURS !! "
Affolé je pris la fuite, certains diront que j'ai été lache mais entendre de la bouche de mon père le mot cours c'est que la situation était vraiment critique. Je partis donc loin à la recherche de puissance, de pouvoir mais la seule chose que j'ai trouvée, c'est l'amour. Je me mariais 15 ans plus tard avec une sramette. Quelques temps après elle accoucha de jumeaux "Dante et Vergil". Dante fugua à son 18ème anniversaire, il était contre les démons. Je ne pouvais le retenir contre sa volonté. Ce qui m'a plutôt étonné c'est qu'il preta serment d'allégeance à Amayiro. Encore pire il le conduisa jusqu'a ma tanière jusqu'ici inconnue de tous. C'était au premier coup d'oeil un jour comme les autres, je franchis la porte , monta au 2ème étage et la ... Je vis ma femme et mon fils Vergil morts etendus sur le sol. Rempli de tristesse et de courage je partis aussi vite que possible vers Bonta. Commenca alors un combat intense entre Bonta et moi. Cependant après avoir pourfendus des centaines de miliciens je me retrouvais nez à nez avec mon fils Dante. Plusieurs fois je lui est demandé de me laisser passer pendant que lui me criblait de coups. Jusqu'au moment où ma rage prit le dessus , j'attrapa son bras et le brisa en deux, ensuite je ne suis pas fier de moi mais je l'ai etranglé vif. Plus haineux que jamais je courrais jusqu'a Amayiro et commenca alors le combat du siècle.Nous avons combattus pendant un jour et une nuit jusqu'a ce que je tombe d'épuisement, le maitre de la milice Bontarienne en profita pour m'assener le coup de grâce : un coup d'épée dans l'oeil gauche. Il prit alors la plus mauvaise décision de sa vie, il m'emprisonna mais il oublia un détail ... Je suis le légendaire Sparda, aucunes prisons ne peut me retenir. Je me suis donc échappé en pleine nuit et je disparut du monde des douzes pendant très longtemps.Jusqu'a il y a quelques jours où j'ai rencontré la descendance de l'armée de Rushu's, les Rushu's Guerilleros, j'ai décidé de m'engager avec eux afin de revoir mon chèr Amayiro.

-"Voilà mon ... Ah il s'est endormi, c'est malin je parle seul depuis toute à l'heure , enfin ca passe le temps." Dit-il en finissant son verre.